Comme Ibrahim Maalouf, elle joue d’une trompette à quatre pistons permettant les “maqams”, ces quarts de tons propres aux musiques arabes. Et comme Erik Truffaz, elle dore le son de sa trompette d’effets électroniques planants. Mais le son de Yazz Ahmed est unique. “J’aime les sons des musiques arabes. Les chants traditionnels sont d’une telle profondeur, sincère et passionnante. J’ai intégré ces musiques quand j’étais enfant mais tout n’est remonté à la surface que ces dernières années, dans mon jeu et mon écriture. Je veux pouvoir rassembler en un même endroit ma culture d’origine et tout l’héritage du jazz britannique, cette musique que mon grand-père me jouait”.
Juin 2024 | ||||||
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